On s’adonnait au jeu de l’oie. Pendue au-dessus d’un canal gelé, une oie devait être décrochée, quelle qu’en soit la manière. (…)
Le jeu du chat. On attachait un chat vivant à un poteau vertical et le jeu consistait à se précipiter, la tête la première contre le pauvre chat, pour l’écraser.
Autre exemple, les courses de taureaux. On lâchait des taureaux dans des lieux clos, où les chiens venaient les mordre.
L'histoire du Carnaval de Venise par Venise1.com